Un mélange amer de peur, de tristesse et de colère, avec l'impression que nous ne sommes que très peu à prendre conscience de l'urgence climatique et de toutes les conséquences du capitalisme... Et le sentiment d'impuissance qui reste à la fin.La peur de voir arriver à très grande vitesse des catastrophes environnementales et sociales, sans que nous n'ayons rien fait, alors que nous le savions depuis des décennies. La tristesse de ne pas pouvoir permettre à mes enfants de grandir avec leur insouciance et bienveillance que je chéris. La colère envers la poignée de dirigeants qui n'agissent que pour leurs intérêts financiers et/ou électoralistes. Je lutte avec l'envie de me replier sur ma famille pour me préserver, mais j'espère encore trouver la voie d'un grand soulèvement !